Eco Culture Club #2: histoires de nature sauvage

Mardi 15 novembre à 19h, rdv aux Halles de la Transition pour l’Eco Culture Club #2

Qu’est ce qu’un Eco Culture Club?

L’Eco Culture Club c’est un temps d’échange sur la culture transition écologique organisé par Les Halles de La transition et Liblab un mardi par mois.

L’idée: échanger dans un moment convivial sur nos sources d’inspiration en matière de transition écologique. Liblab vient avec des livres, mais chacun peut mettre en avant des films, des podcasts, des événements, des initiatives, voyages ou autres expériences personnelles qui font avancer.

Nos histoires de nature sauvage au programme le 15 novembre à 19h

Renforcer notre connaissance de la nature et notre lien au vivant est un enjeu important pour notre implication dans la transition écologique. Ecouter les histoires de ceux qui se confrontent au vivant est riche d’enseignement.

Chez Liblab , je me suis intéressée au rapport de l’homme à la nature extrême du grand Nord. Qu’elle soit choisie comme dans « Encabanée » de Gabriel Filteau-Chibba ou « Dans les forêts de Siberie » de Sylvain Tesson ou subie, comme dans « Ermite dans la taïga« .

Epreuve? Contemplation? Spiritualité? initiation? Quête d’une autre vie? conservation et transmission? Quelles raisons poussent ces gens à se confronter au sauvage? Qu’en tirent-ils?

Il y a ceux qui y remplissent une mission d’exploration et de protection: comme Vincent Munier aujourd’hui, comme John Muir hier « j’aurais pu devenir millionnaire j’ai choisi d’être vagabond ». Il ya ceux qui croisent les arbres dans leur vie et s’en trouvent changés comme dans « L’arbre-monde ».

forêt nature sauvage

Il y a ceux qui chassent pour de bonnes ou moins bonnes raisons, dans « Le Loup » et dans « le Poids du papillon. Et il y a ceux qui regardent et encouragent le sauvage tout près de chez nous pour lui redonner sa place comme Arnaud Ville dans « les jardiniers invisibles » , Jean Meurisse dans « l’esprit de la ruche », ou « créer une mare » dans la collection résiliences d’Ulmer.

Tout ces regards nous donnent à prêter une attention nouvelle et différente aux écosystèmes dans lesquels nous vivons en les ignorants. L’immersion dans ces histoires, écrites, filmées, peintes, enregistrées, re-tisse délicatement ce lien. Ne nous privons pas…