Eco Culture Club #2: nos recos d’histoires de nature sauvage

Le 15 novembre nous avons partagé les histoires de nature sauvage qui nous ont touchées interpellées et discuté de notre découverte ou redécouverte du vivant.

Le sauvage c’est au bout du jardin

Le sauvage c’est tout près de nous, en ville et dans nos campagnes. Nous avons échangé sur le fait qu’en prenant le temps on redécouvre comment le végétal et l’animal se réinvitent dans nos villes.

Dans la superbe BD l’Oasis, Simon Hureau nous montre comment il a transformé avec enthousiasme son petit jardin de banlieue en oasis de biodiversité.

Cela donne lieu à des images insolites comme dans La vie secrète d’un cimetière qui nous révèle la vie cachée du père Lachaise.

Il y a d’ailleurs des initiatives près de chez nous pour re-découvrir notre nature de proximité comme la maison en transition de Sophie à Balma.

Nous ne connaissons rien du monde sauvage

Certains contenus nous en ont appris beaucoup. les livres de Francis Hallé botaniste inventeur du radeau des cimes et défenseur de l’idée d’une forêt primaire en Europe, ou de Vincent Munier photographe de faune sauvage, mis en scène dans le livre de Sylvain Tesson et le film la panthère des neiges.

l’émission de radio la terre au Carré, le documentaire « l’intelligence des arbres ». Ou la série documentaire Notre planète du WWF.

Nous avons aimé des histoires de survie et de nature rude

Là où chantent les écrevisses : une histoire de résilience dans une zone sauvage de marais

Dans la forêt de Jean Hegland ou de jeunes femmes luttent pur survivre dans un monde post-effondrement

Into the wild, le livre et le film, qui montre une nature fascinante mais qui peut devenir dangereuse et qui nous rend modeste

Captain fantastic, le film qui montre un homme qui éduque ses enfants loin de la société de consommation et qui en fait des êtres à la fois parfaits et partiellement inadaptés au monde.

Croire aux fauves de Nastasia Martin ou l’anthropologue raconte comment elle s’est battue et a survécu à une attaque d’ours au Kamtchatka et comment elle a traversé la reconstruction de la morsure au visage: une épreuve où le plus dur n’est pas toujours ce qu’on croit.

Et nous avons compris que la nature a une grande force de résilience, puisqu’elle renait, dans les no man’s land désolés des zones frontières en Corée, des catastrophes à Tchernobyl ou de nos périphéries abandonnées.

Un bel échange à 5! Merci à Maya, Manon, Maryline et Georges. Nous vous attendons le 21 décembre pour échanger sur le sujet mode et écologie.